Si vous vous en doutiez encore, sono stupido*.
Ça faisait quoi, un mois que je n'étais plus allé au body pump et à peine une semaine que j'avais recommencé sérieusement les séances et v'là t'y pas que je me charge comme une mule.
Certes, une petite mule mais quand même.
Pour rappel, jusqu'à alors je m'échauffais à 7 kilos et montais à 16 maximum durant le cours. Or, hier, allez savoir pourquoi, j'ai pris 12 pour commencer (la barre à 2 et deux poids de 5).
Bon, c'était plutôt normal vu qu'aux curls j'en suis maintenant entre 16 et 19 (plutôt 16 que 19 mais soit) et l'échauffement fut donc tranquille. Mais, hop ! dès le premier exercice, les squats, JB nous dit de doubler les poids. Total, je me retrouve à devoir m'abaisser, les cuisses parallèles au sol, puis à me redresser avec 22 kilos sur les épaules ! Après un rapide coup d'œil à mes confrères mâles (et autrement charpentés que moi), je me rends compte 1° qu'ils portent autant que votre humble serviteur, 2° que j'ai donc commis une erreur.
Le démarrage se fait peinard, 22 kilos sur les épaules, c'est très différent que de les tenir à bout de bras et franchement, cela ne semble pas si lourd sauf que, au body pump, toute la difficulté vient de la longueur de l'exercice. Lorsque je fais mes séries, en semaine, elles durent combien de temps ? Une minute, une minute trente à tout casser ? Ici, je n'ai pas calculé le timing du morceau mais ce devait être en 4 et 6 minutes (et plutôt 6). Bref, à la moitié le dos commençait à m'élancer sérieux et à la fin, j'avais les lombaires en feu !
Mais, of course, m'étant échauffé à 12, je n'allais pas redescendre si bas et suivant l'adage voulant que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis, j'ai persévéré sur ma lancée.
Dos, pectoraux, triceps, biceps, je me suis tout tapé avec 17 à 22 kilos à porter, lever, hisser.
Ou plutôt, j'ai essayé, parce qu'à au moins deux reprises, en pacifiste convaincu, j'ai déposé les armes (bon d'accord, plutôt en vaincu peu glorieux).
Pas sûr du tout d'autant me charger dimanche prochain !
* Ce qui ne signifie bien sûr pas que la musique que nous passe Jean-Bruno est à chier (quoique).
- Comment je compte passer de 55 kg d'os à 70 kg de muscles en 1 an alors que je fume comme un pompier et n'ai plus fait de sport depuis 20 ans -
mercredi 21 juillet 2010
mercredi 14 juillet 2010
Jours 42-43 : retour en salle !
13 jours, c'est long, très long !
Une semaine que je rongeais mon frein et c'est donc avec plaisir et en me faisant chambrer par Jean-Bruno pour désertion de poste que j'ai rejoint le banc des développés couchés.
Oh, je n'ai pas dépassé les 60 livres et, même, j'ai éprouvé des difficultés à enchaîner les séries, mais pour quelqu'un qui se remettait d'une vache de bactérie et qui en avait perdu 3 kilos, je n'en espérais pas tant.
Et vu que la perte de masse était surtout visible au niveau des bras, j'ai enchaîné tous les curls biceps possibles.
Les deux jours !
Barres, haltères, assis, couché, debout !
8 kilos pour les haltères, 19 pour la barre.
Évidemment, ça doit être le tiers, voire la moitié de ce que soulèvent mes compagnons de fonte. Sauf qu'eux ont des bras comme mes cuisses, et encore, celles que j'avais quand je cognais dans un ballon de foot 8 heures par jour !
Bref, j'étais content de moi.
Même si hier j'ai dû ramasser la séance en 40 petites minutes.
Il régnait une chaleur étouffante, on crevait malgré toute la flotte qu'on ingurgitait entre chaque série. Perso, un litre en 30 minutes. Vous avez déjà essayé de boire un litre en 30 minutes ?
Vous dites ? "Après avoir essayé de traversé le Sahara à pied" ? Voilà, c'est ça.
En deux séances et un retour à une alimentation normale, j'ai déjà repris 2 kilos.
En fait d'alimentation normale, j'ai demandé un complément alimentaire à JB : des acides aminés, principalement de la leucine. C'est en poudre, à boire avec un jus de fruits, se dissout mal et a un goût infect.
Et bien sûr, ça va en faire hurler certains.
Je me trompe ?
Une semaine que je rongeais mon frein et c'est donc avec plaisir et en me faisant chambrer par Jean-Bruno pour désertion de poste que j'ai rejoint le banc des développés couchés.
Oh, je n'ai pas dépassé les 60 livres et, même, j'ai éprouvé des difficultés à enchaîner les séries, mais pour quelqu'un qui se remettait d'une vache de bactérie et qui en avait perdu 3 kilos, je n'en espérais pas tant.
Et vu que la perte de masse était surtout visible au niveau des bras, j'ai enchaîné tous les curls biceps possibles.
Les deux jours !
Barres, haltères, assis, couché, debout !
8 kilos pour les haltères, 19 pour la barre.
Évidemment, ça doit être le tiers, voire la moitié de ce que soulèvent mes compagnons de fonte. Sauf qu'eux ont des bras comme mes cuisses, et encore, celles que j'avais quand je cognais dans un ballon de foot 8 heures par jour !
Bref, j'étais content de moi.
Même si hier j'ai dû ramasser la séance en 40 petites minutes.
Il régnait une chaleur étouffante, on crevait malgré toute la flotte qu'on ingurgitait entre chaque série. Perso, un litre en 30 minutes. Vous avez déjà essayé de boire un litre en 30 minutes ?
Vous dites ? "Après avoir essayé de traversé le Sahara à pied" ? Voilà, c'est ça.
En deux séances et un retour à une alimentation normale, j'ai déjà repris 2 kilos.
En fait d'alimentation normale, j'ai demandé un complément alimentaire à JB : des acides aminés, principalement de la leucine. C'est en poudre, à boire avec un jus de fruits, se dissout mal et a un goût infect.
Et bien sûr, ça va en faire hurler certains.
Je me trompe ?
samedi 10 juillet 2010
Bien sûr !
Et j'y suis retourné bien sûr.
Du moins à la salle.
Mais pas au body pump.
Et bien moins souvent qu'espéré.
La faute à un trio dont 2 éléments au moins furent maléfiques : chaleur - festival - bactérie.
Mais revenons-en au jour 40.
Toujours sur ma lancée du body pump et l'envie de dépasser quelques limites, je me suis pointé super tôt le mercredi suivant. Enfin, super tôt pour moi, ça signifie 10h00, quasi l'aube, quoi !
Je devrais le faire plus souvent : gymnase quasi désert, vestiaire immaculé, pas de groupe de ci ou de ça s'entraînant, sono à fond, sur le parquet et, surtout, en été, une relative fraîcheur !
Je me glisse sous la barre olympique, faut que j'atteigne les 30 kilos aujourd'hui.
Et je les ai atteint, assez facilement.
Prochain palier : 35.
À l'E-Z aussi, je suis passé à 19 comme je me l'étais promis. Et au curl biceps, un haltère de 8 dans chaque main.
Mes séances durent 50 minutes maintenant, en moyenne. Pas que je fasse moins d'exercices, juste que je les concentre.
Alors pourquoi m'a-t-il fallu une semaine pour y revenir ?
Je ne vais pas me la raconter, cette semaine-là, ce fut pure fainéantise. J'avais bien un gros boulot à terminer pour le 30 mais j'aurais pu trouver les 90 minutes quotidiennes nécessaire à mes séances.
Et surtout (piètre excuse), je comptais me rattraper la semaine suivante.
Soit.
Je n'ai quand même attendu le 30, le remords sans doute.
Jour 41 le 29 juin. Mais vu que je ne retiens jamais les bonnes leçons, je suis arrivé à midi ! C'était un des premiers jours à températures vraiment estivales, dans les 28°...
28° seulement serait-on tenté d'écrire au vu des derniers jours mais déjà le gymnase, avec son toit partiellement en verre, virait à l'étuve. Chaque geste coûtait plus d'efforts que d'habitude et moi qui ne sue pratiquement jamais, je trempais mon tee-shirt.
Courageux mais pas téméraire, j'en suis resté aux charges de la semaine précédente.
En me promettant de venir plus tôt la prochaine fois, pas demain mais jeudi.
Sauf que jeudi, je me suis levé nauséeux. Un coup de chaleur de la veille ? Un truc pas digéré ? Je ne savais. Mais devant bosser 3 soirs et nuits de suite sur le festival des Clandestins, je m'abstins.
Beaucoup plus stupidement, je m'abstins également de consulter mon toubib. Jusqu'au lundi où je my rendis après 3 jours d'insomnies et de douleurs. Une méchante bactérie, qui avait eu tout le loisir de bien s'installer d'où antibios à la louche et fatigue intense.
Et 3 kilos de perdus !
Bien joué, l'artiste !
Alors, retour en salle cette semaine ?
Je vous tiendrai au courant. Bien sûr !
Du moins à la salle.
Mais pas au body pump.
Et bien moins souvent qu'espéré.
La faute à un trio dont 2 éléments au moins furent maléfiques : chaleur - festival - bactérie.
Mais revenons-en au jour 40.
Toujours sur ma lancée du body pump et l'envie de dépasser quelques limites, je me suis pointé super tôt le mercredi suivant. Enfin, super tôt pour moi, ça signifie 10h00, quasi l'aube, quoi !
Je devrais le faire plus souvent : gymnase quasi désert, vestiaire immaculé, pas de groupe de ci ou de ça s'entraînant, sono à fond, sur le parquet et, surtout, en été, une relative fraîcheur !
Je me glisse sous la barre olympique, faut que j'atteigne les 30 kilos aujourd'hui.
Et je les ai atteint, assez facilement.
Prochain palier : 35.
À l'E-Z aussi, je suis passé à 19 comme je me l'étais promis. Et au curl biceps, un haltère de 8 dans chaque main.
Mes séances durent 50 minutes maintenant, en moyenne. Pas que je fasse moins d'exercices, juste que je les concentre.
Alors pourquoi m'a-t-il fallu une semaine pour y revenir ?
Je ne vais pas me la raconter, cette semaine-là, ce fut pure fainéantise. J'avais bien un gros boulot à terminer pour le 30 mais j'aurais pu trouver les 90 minutes quotidiennes nécessaire à mes séances.
Et surtout (piètre excuse), je comptais me rattraper la semaine suivante.
Soit.
Je n'ai quand même attendu le 30, le remords sans doute.
Jour 41 le 29 juin. Mais vu que je ne retiens jamais les bonnes leçons, je suis arrivé à midi ! C'était un des premiers jours à températures vraiment estivales, dans les 28°...
28° seulement serait-on tenté d'écrire au vu des derniers jours mais déjà le gymnase, avec son toit partiellement en verre, virait à l'étuve. Chaque geste coûtait plus d'efforts que d'habitude et moi qui ne sue pratiquement jamais, je trempais mon tee-shirt.
Courageux mais pas téméraire, j'en suis resté aux charges de la semaine précédente.
En me promettant de venir plus tôt la prochaine fois, pas demain mais jeudi.
Sauf que jeudi, je me suis levé nauséeux. Un coup de chaleur de la veille ? Un truc pas digéré ? Je ne savais. Mais devant bosser 3 soirs et nuits de suite sur le festival des Clandestins, je m'abstins.
Beaucoup plus stupidement, je m'abstins également de consulter mon toubib. Jusqu'au lundi où je my rendis après 3 jours d'insomnies et de douleurs. Une méchante bactérie, qui avait eu tout le loisir de bien s'installer d'où antibios à la louche et fatigue intense.
Et 3 kilos de perdus !
Bien joué, l'artiste !
Alors, retour en salle cette semaine ?
Je vous tiendrai au courant. Bien sûr !
Inscription à :
Articles (Atom)