Et j'y suis retourné bien sûr.
Du moins à la salle.
Mais pas au body pump.
Et bien moins souvent qu'espéré.
La faute à un trio dont 2 éléments au moins furent maléfiques : chaleur - festival - bactérie.
Mais revenons-en au jour 40.
Toujours sur ma lancée du body pump et l'envie de dépasser quelques limites, je me suis pointé super tôt le mercredi suivant. Enfin, super tôt pour moi, ça signifie 10h00, quasi l'aube, quoi !
Je devrais le faire plus souvent : gymnase quasi désert, vestiaire immaculé, pas de groupe de ci ou de ça s'entraînant, sono à fond, sur le parquet et, surtout, en été, une relative fraîcheur !
Je me glisse sous la barre olympique, faut que j'atteigne les 30 kilos aujourd'hui.
Et je les ai atteint, assez facilement.
Prochain palier : 35.
À l'E-Z aussi, je suis passé à 19 comme je me l'étais promis. Et au curl biceps, un haltère de 8 dans chaque main.
Mes séances durent 50 minutes maintenant, en moyenne. Pas que je fasse moins d'exercices, juste que je les concentre.
Alors pourquoi m'a-t-il fallu une semaine pour y revenir ?
Je ne vais pas me la raconter, cette semaine-là, ce fut pure fainéantise. J'avais bien un gros boulot à terminer pour le 30 mais j'aurais pu trouver les 90 minutes quotidiennes nécessaire à mes séances.
Et surtout (piètre excuse), je comptais me rattraper la semaine suivante.
Soit.
Je n'ai quand même attendu le 30, le remords sans doute.
Jour 41 le 29 juin. Mais vu que je ne retiens jamais les bonnes leçons, je suis arrivé à midi ! C'était un des premiers jours à températures vraiment estivales, dans les 28°...
28° seulement serait-on tenté d'écrire au vu des derniers jours mais déjà le gymnase, avec son toit partiellement en verre, virait à l'étuve. Chaque geste coûtait plus d'efforts que d'habitude et moi qui ne sue pratiquement jamais, je trempais mon tee-shirt.
Courageux mais pas téméraire, j'en suis resté aux charges de la semaine précédente.
En me promettant de venir plus tôt la prochaine fois, pas demain mais jeudi.
Sauf que jeudi, je me suis levé nauséeux. Un coup de chaleur de la veille ? Un truc pas digéré ? Je ne savais. Mais devant bosser 3 soirs et nuits de suite sur le festival des Clandestins, je m'abstins.
Beaucoup plus stupidement, je m'abstins également de consulter mon toubib. Jusqu'au lundi où je my rendis après 3 jours d'insomnies et de douleurs. Une méchante bactérie, qui avait eu tout le loisir de bien s'installer d'où antibios à la louche et fatigue intense.
Et 3 kilos de perdus !
Bien joué, l'artiste !
Alors, retour en salle cette semaine ?
Je vous tiendrai au courant. Bien sûr !
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